Lundi 28 octobre

Mardi 5 novembre

Vendredi 15 novembre : temps de présentation de l’avenir des CDLT et partage d’idées

Mardi 19 novembre : visio co #3

Question imaginaires : a émergé quand elle a commencé à travailler au parlement. Questionnant de partager son avis sur un sujet sans avoir d’image de ce vers quoi on va. Ce voyage c’est l’occasion de construire ça. Qqch qui questionne, où vous en êtes ? Comment votre voyage vous aide à répondr eà ces questions. Les fermes c’est pas très alternatif, reste des entreprisse. Preneuse d’avoir les retours.

Martin : sujet assez central pour lui aussi. Autour de la low tech, on arrive vite à ces questions. Faut que àa donne envie, d’adapter son mode de vie… Dans quel cadre ça s’intègre, faut que ce soit désirable. A vu récemment un post de Thimothé Parrique. “on arrive mieux à envisager la fin du monde que la fin du capitalisme”. Fresque des nouveaux récits.

Maelle : ne croit pas qu’on puisse reconstruire à une échelle aussi grande. Dans plusieurs écolieux, on parle bcp de révolution, fin du capitalisme. Manque de réalité sociale, connaissance des cultures, classes sociales.

Margot : se pose pas mal la question de créer de snouveaux imaginaiers en complément de se poser en “contre”. Pas mal parlé de ça à Millau. Rendre désirables les véhicules intermédiaires au lieu de seulement critiquer la voiture. Vivre des expériences de joie autour de l’expérimentation de ces véhicules. En Ardèche, ancrés dans le village. Entraide…

Martin : Sandrine Roudaut, s’intéresse bcp aux utopies. livre avec sandrine rousseau sur l’écoféminisme

Miléna : est chez philippe et françoise, dans une auberge paysanne, autonomie alimentaire. Bell Hooks : cultiver son rapport à la terre et à l’émancipation. Sujet du collectif, tensions


dans les premiers lieux, martin a passé bcp de temps avec parents et enfants, trop chouette, rapoort à l’éducation, voir les questionnements, postures avec les enfants, etc

très axé famille

a écolectif, quasi que des quarantenaires

lui manquait de cotoyer des jeunes, en manque de fête

moins motivé par le fait qu’il y ait moins de personnes de son age

Maëlle : d’accord avec Martin, modèles familiaux. Questionnement de l’investissement pour les écolieux. Des gens déjà à l’aise financièrement. Jeunes plus absents. Mais ça existe. Intergé c’est compliqué. Défi de sortir du modèle jeune avec jeunes et inversement.

Croise des gens qui sont pas mal sur la route, perdus.

Pauline : rattache bcp ça à l’historique de la lutte pour l’écologie, combat qui date, on se retrouve avec des vieux et jeunes militants, approches différentes. vieux naturalistes, jeunes babos. Approches complémentaires. Apprentissage qu’eux ont fait dont on peut se nourrir pour construire notre propre approche.